Publié le
Mardi 6 octobre 2020

Viser l’autonomie protéique doit être réfléchi à l’échelle du système

Visite d’une parcelle de luzerne lors de l’après-midi consacré à l’autonomie protéique à Mauges-sur-Loire, mardi. Un
Visite d’une parcelle de luzerne lors de l’après-midi consacré à l’autonomie protéique à Mauges-sur-Loire, mardi. Un diagnostic fourrager est nécessaire avant de se lancer.
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La quête de l’autonomie protéique ne doit pas être motivée par le seul but de réduire les coûts de concentrés. C’est un objectif qui doit se raisonner à l’échelle du système, propose Jérémy Leduc. Il intervenait mardi 30 septembre lors d’un après-midi technique organisé par le Civam, à Mauges-sur-Loire (Maine-et-Loire).

L’autonomie protéique à tout prix ? Attention ! "Un certain nombre d’éleveurs en font un objectif, dans le but de réduire coûte que coûte le coût de concentré, constate Jérémy Leduc, conseiller d’entreprise à CerFrance 49. Or c’est vraiment une approche système qu’il faut avoir." Avant de se lancer, il faut donc dresser un état des lieux. Cela commence par la réalisation d’un diagnostic technico-économique : connaître les résultats des années passées...

Article paru dans "L'Avenir Agricole" du 2 octobre 2020 - N° 40
(Version numérique 1,90 €)
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