Voilà près d’une dizaine d’années qu’Hervé Pelé fait de la transformation à la ferme. Un tiers des 160 000 litres produits est valorisé en circuit court. Mais un jour, la cantine de Trémentines lui a fait un mauvais retour : les enfants ne voulaient pas boire le lait, "il avait un goût d’ensilage", rapporte son épouse Patricia Grégoire, qui s’occupe de la transformation. La faute aux...

Hervé Pelé : "Je fais des petits chantiers de 5 - 6 hectares de fauche à chaque fois. J'étais habitué à tout faire tout seul, je n'ai pas senti de surcroît de travail."
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A Trémentines, près de Cholet (Maine-et-Loire), Hervé Pelé a investi au printemps dernier dans un séchoir de foin en bottes. Objectif : arrêter l’enrubannage et améliorer la qualité du lait. Il présentera son équipement et sa ferme lors de la journée Bio pratiquent, le 17 novembre.
Article paru dans "L'Avenir Agricole" du 30 octobre 2020 - N° 44
(Version numérique 1,90 €)
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