Au Gaec du Linay (Mayenne), Bernard Linay prépare le réveillon, mais pas seulement le sien : 1 300 bûches sont dans les congélateurs, ainsi que 1 000 verrines pour l'apéritif. "On est repartis sur les mêmes volumes et objectifs que l'an dernier. Mais peut-être qu'on se trompe complètement, on ne sait pas du tout", explique le producteur. "Pour nous, Noël c'est 25 % du chiffre d'affaires annuel", souligne-t-il. D'habitude, portes ouvertes et surtout marchés de Noël assurent un minimum de pré-commandes, et...

Huîtres (et muscadet), escargots, cerf ou bSuf local, bûches glacées. Et si cette année le réveillon était local ?
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Les producteurs de spécialités festives jouent gros dans les prochaines semaines, encore plus que d'habitude. Pour ce mois de décembre hors-norme, ils misent sur les habitudes gourmandes de leurs clients. Ambiance.
Article paru dans "L'Avenir Agricole" du 11 décembre 2020 - N° 50
(Version numérique 1,90 €)
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