Cette nouvelle ne va pas arranger le moral de la filière, déjà tourmentée par la perspective d’une hausse de la TVA sur les centres équestres.
On peut aussi relativiser. Tout d’abord, en se disant, avec le Sniv-SNCP, que l’affaire rappelle “qu’à toute chose, malheur est bon : parce qu’elle signifie que dans notre pays les fraudeurs ne peuvent pas frauder tranquille”. Et n’oublions pas que la filière est diverse. Si la consommation de viande est faible, les branches sportives, elles, se portent bien. Les Français aiment les chevaux. Espérons que les centres équestres puissent obtenir un cadeau de Noël sur la TVA.
Rémi Hagel