Publié le
Vendredi 12 septembre 2014

La Salers veut prouver qu'elle vit avec son époque

La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.


Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


La Salers est la race mise à l'honneur pour cette édition 2014. Aujourd'hui, cette vache doit s'appuyer sur d'autres régions que le Massif central pour maintenir ses effectifs. Encore peu connue dans l'Ouest, ses représentants veulent mettre toutes les chances de leur côté pour la mettre en lumière à Rennes. Sur les 41 élevages présents, 32 sont originaires du berceau, la plupart du Cantal. Peu d'éleveurs de l'Ouest sont orientés en sélection, donc peu adhèrent au Herd book (condition indispensable pour participer au concours du Space) ; 80 animaux s'affontreront sur le ring.



Des Salers sans cornes



L'objectif des organisations raciales est

"de sortir un peu des arguments connus". La Salers est souvent vantée comme une

"vache rustique, facile à vivre". Sa silhouette se distingue aussi par ses grandes cornes. Mais ces aspects traditionnels sont en train d'être bousculés.

"C'est une race qui évolue, qui progresse, qui s'inscrit dans une logique de situations modernes", souligne Christian Veillaux, animateur de l'association Salers de l'Ouest.

"On a désormais deux à trois taureaux fiables en gène sans cornes.

Cela interpelle évidemment, mais il faut savoir que la demande aussi évolue, notamment à l'étranger." C'est notamment le cas de la principale filière export de la Salers, la Belgique, où elle est importée pour ses qualités maternelles et sa croissance. La demande évolue aussi en France : l'augmentation de la taille des élevages implique des besoins nouveaux.

"Il y a tout un travail en cours sur le génotypage. La Salers ne veut pas passer à côté des évolutions en génétique."


Outre le gène sans cornes — il ne devrait y avoir qu'une poignée d'animaux sur le ring du Space —, la belle rouge œuvre aussi à élargir sa base de données, grâce à la génomique. Et ce, au-delà des seuls critères maîtrisés, la croissance et la morphologie. La production laitière est ainsi une priorité. Cette race mixte fait aussi l'objet d'efforts d'amélioration sur son principal défaut : la mamelle. Il s'agit d'éviter au maximum les décrochements de mamelles, afin de faciliter l'alimentation des veaux.


Preuves de ces nouvelles orientations, trois jugements distingueront le meilleur animal en IVmat, le meilleur en Isu et pour les aptitudes bouchères.

"Ce n'est pas qu'un concours de beauté, et les Salers ne sont pas que des moules à veaux : il faut aussi tenir compte de la production." Un éleveur anglais sera chargé d'en juger. Un choix qui vise aussi à montrer que la Salers a sa place sur le marché international de la génétique.


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18 décembre 2020 - N° 51 - Notre dernier numéro
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