Bien-être animal, qualité des viandes, effacement des nuisances olfactives, "fonte" des porcheries dans le paysage, baisse de consommation d’énergies, etc. Les aménagements réclamés par l’aval, tant les consommateurs que les distributeurs, "vont nécessiter des investissements colossaux", confirme Christine Roguet, du pôle Economie de l’Ifip.
La masse de financements pour répondre à cette demande de transformation des modes d’élevage "n’a pas été calculée". L’économiste avance cependant quelques chiffres : "Le besoin...